Victoria King

Bonjour! Mon nom sur mon certificat de naissance est Victoria King et on me surnomme Vic. Je suis né(e) le 7 juillet 1988 à Toronto au/en Canada. Je suis un(e) humaine et j'appartiens à/aux hommes de lettres canadiens. Je travaille comme/en femme de lettres.

Calme - Posée - Travaillante - Boudeuse - Curieuse - Ne s'énerve pas pour un rien - Va au bout des choses - Passionnée - Énervante à ses heures - Individualiste

Vous pouvez écrire le physique ou ne pas l'écrire. C'est libre à vous ( la fiche sera changé sous peu et cette section disparaitra )

Étant une humaine, je n'ai pas de panoplie de pouvoirs à étaler ici. Par contre, je pourrais dire que j'excelle dans l'art d'exaspérer les gens. Je peux passer facilement une nuit blanche (avec l'aide de la caféïne) pour terminer des recherches. Sinon quoi dire d'autre? Ah oui, un menu détail, mais on m'a appris à puiser dans mon âme en cas de besoin, pour lutter contre diverses créatures et les emprisonner ou bien les exterminer. C'est selon! Il y a aussi bien entendu, la base, celle de savoir se défendre. Je ne vise pas trop mal avec une arme à feu et je sais utiliser une grand variété d'armes blanches. Au corps à corps... vu mon impressionnante musculature... et bien je ne suis pas à mon avantage!

Je suis née dans la famille King, dans un pays qui ne connaît plus de royauté immédiate. Bon, en fait, nous avons droit au visage ridée de la reine sur nos dollars, mais sa Majesté n'a plus vraiment d'influence de ce côté de l'océan. Ça me convient devrais-je dire. Néanmoins, la famille dans laquelle je vis le jour avais tout de même un certain prestige, une certaine noblesse. Depuis aussi loin que la colonisation pratiquement, mes ancêtres habitaient et dirigeait dans cette colonie britannique. Paraîtrait même qu'un des anciens premiers ministres canadiens serait un de mes ancêtres. Était-il lui aussi un membre des Hommes de lettres? N'étant pas férue de généalogie ni d'histoire, je n'ai pas cherché à savoir. Vous avez bien lu, ma famille appartient depuis des générations aux Hommes de lettre canadiens. J'étais la petite dernière de la famille, ayant deux frères aînés. Je ne fis qu'emprunter le chemin qui m'était déjà tracé en fait. Mes frères avaient été initiés avant moi et mes parents furent fiers de constater que leur progéniture était assez douée, avouons-le. Que ce soit mes frères ou moi, le nom de King était suivi d'éloge dans notre communauté. Dans ma famille, il n'y avait pas que l'héritage de notre nom par contre, l'éducation était aussi importante.

J'étais d'ailleurs une bonne étudiante. J'aime apprendre, tant qu'on ne m'apprend pas n'importe quoi. Je suivis un cursus scolaire relativement normal jusqu'à ce que je commençai mes études de femme de lettres, si je puis dire ainsi. En parallèle, je continuai des études bidons en administration (moi gérer des gens? Vous imaginez!) tout en me faisant tranquillement initier à cet immense savoir sur le surnaturel. Désireuse d'en apprendre plus, je demandai d'aller faire un stage à Kendricks. Étant donné que c'était la branche mère, j'y apprendrai sans doute beaucoup. Quelle ne fut pas ma déception! J'y fit la connaissance d'un bon nombre de timbrés persuadés que la moindre créature existante devait être exterminée. Je dois ici faire une parenthèse. A Canada, nous sommes d'une autre mentalité. Non, nous faisons pas ami-ami avec les loup-garous ni les goules, mais nous pensons plutôt que certaines créatures ou être doté de pouvoir peut être utilisé si bien contrôlé et encadré. Il arrive régulièrement de se faire assigner un sorcier ou un vampire repentant pour chasser une créature qui détruit tout sur son passage. Au moindre faux-pas par contre, c'est la mort. Purement et simplement. Cela en fit grincer plusieurs des dents, mais c'était notre manière de faire, que cela leur plaise ou non. Je restai un an tout de même en Angleterre avant de plier bagage et revenir à ma terre natale. Je repris ma vie et commençai le travail de terrain. J'étais plutôt douée, sans fausse modestie et c'est sans doute pourquoi on me donna cette mission. Nous savions que les Hommes de lettres américains étaient disparus depuis des années, mais jamais nous nous étions mêlés de ce qui se passait de l'autre côté des lignes. Il faut dire que pour nous, de base, les américains étaient des cow-boys prêts à tirer et chasser tout ce qui n'aimait pas le coca et le football (pour ma part je préférais grandement le hockey d'ailleurs). Sauf que là, c'était définitivement la merde aux États-Unis. On m'envoya au Kansas avec pour ''partenaire'' un sorcier prétendument bon. Il tenta de m'abandonner dans l'état de l'Iowa. Je lui tirai une balle dans le dos et continuai mon chemin jusqu'au Kansas. C'est dans la ville de Kansas city que je me retrouvai coincée sous une bulle (en quelque sorte, parce que non visible!), telle un poisson rouge dans un bocal. Quel chasseur avait encore fait une connerie? Je me plongeai dans les recherches, savoir ce qui était à l’origine du problème, mais aussi, comment sortir de cette bulle et continuer ma mission de remettre un peu d'ordre dans ce pays où la loi du plus fort semblait régner.