Xander Jones

Bonjour! Mon nom sur mon certificat de naissance est Xander Jones ou Abalam et on me surnomme Jones ou Bal. Je suis né le 13 novembre 1989 à Cincinati, Ohio au États-Unis . Je suis un humain possédé par un démon et j'appartiens au méchant à temps partiel. Je travaille comme chanteur populaire.

Avant, j’étais quelqu’un de biens. J’aimais la vie et tout allait bien dans mon monde. La réussite me montait peut-être à la tête, mais sans que ce soit trop non plus. J’étais foncièrement heureux. Du moins, jusqu’à ce que je commence à entendre des voix, qu’une voix sorte du lot et qu’elle ne me quitte plus. Ensuite, les black out, le sang sur mes mains et plus il prenait de la place, plus je réalisais que je commettais l’impensable et ça m’a brisé. Il m’a brisé. Il est plus fort que moi. Mon médecin m’a envoyé voir un psy, qui m’a envoyé voir un psychiatre et lui, il m’a diagnostiqué. On pensait que j’étais schizophrène. Ça m’est tombé dessus comme une montagne et ça m’a brisé encore plus. Tentez d'être une personnalité public avec un problème de santé mentale... Je sais encore rire, sourire, avoir du plaisir, mais je sens cette noirceur à l’intérieur de moi. J’essais de me convaincre que c’est lui, mon alter égo, mon némésis, que c’est lui qui fait du mal et pas moi, mais la ligne est si mince.

Saul que finalement, mon psychiatre disait s'être trompé, mon alter ego était trop fort, je changeais trop. Je passais donc de schizophrène à un trouble dissociatif de la personnalité, mais ça n’avait rien de plus simple. C'était une erreur de diagnostic courante d'après les médecins. Seuls les médicaments changeaient, mais ils n’ont pas vraiment plus d’effet si vous voulez mon avis.

Alors, pour fait simple, quand je suis moi. Je suis sympathique, souriant, rieur, charmant même. Je suis aussi la tristesse et l’incompréhension. Mes pulsions me dégoûtent et mon manque de contrôle sur lui aussi. Je ne me considère plus comme une bonne personne, je ne suis plus quelqu’un d’agréable à fréquenter, mais je prends les médicaments qu’on m’a prescrit. Un jour, les voix cesseront et il disparaîtra. C’est mon psychiatre qui l’a dit.
Lorsqu’il prend pleinement le contrôle. Je deviens avide de sang, je deviens une bête sanguinaire, j’aime la souffrance d'autrui, la torture, j’aime voir la mort s’inviter dans le regard de mes victimes. J’aime goûter leurs larmes et me nourrir de leur peur. Je suis d’une violence insoupçonnée et j’aime jouer. Je suis hautain et mégalomane. Un vrai psychopathe. Je ne me ressemble plus du tout.

Vous pouvez écrire le physique ou ne pas l'écrire. C'est libre à vous ( la fiche sera changé sous peu et cette section disparaitra )

Je ne possède aucun pouvoir en particulier. Pas moi en fait, lorsque l’autre prend le dessus, il peut se servir des siens. Je n’ai jamais pu lui prendre ni même emprunter sans qu’il ne le veuille ou qu’il ne le fasse de lui-même. Je suis complètement inutile. Lorsqu’il est là, il prend toute la place et même lorsque je suis moi, il a le contrôle, on le sait tous les deux… Parfois, il dort, mais trop peu si vous voulez mon avis.

Il possède des pouvoirs que je ne comprendrai jamais. J’irais même jusqu’à dire qu’il est puissant, mais je ne peux pas m’avancer à ce sujet, je n’en connais pas beaucoup. Comment peut-il faire toutes ses choses ? Aucune idée.

Il est fort, nous avons fait valser à l’autre bout de la pièce tellement de gens que j’ai perdu le compte. Comme si mon corps développait une nouvelle force quand c’est lui. Il arrive à briser une nuque en un frôlement. Je ne me suis jamais aussi craint. Je ne voudrais pas faire un bras de fer contre nous, jamais.

Là, c’est vraiment bizarre, parce que nous arrivons à sentir et à voir des choses que je ne verrais jamais sans lui. S’il n’est pas là, je deviens quasi impotent. Je suppose que c’est parce que je suis un simple humain et qu’il est mieux que moi, mais quand même. Le plus bizarre, c’est qu’on a déjà croisé un chien invisible, moi je ne voyais rien, c’est lui qui me l’a montré. Comment on peut ne pas voir et voir à la fois ? Aucune idée.

Il arrive à se téléporter, du coup, je suis obligé de suivre. Je ne peux rien faire de plus. Il contrôle tout s’il le souhaite. Généralement, quand il le fait, je ne le vois pas, je ne le sais pas. C'est comme s'il me mettait à off pour que je ne comprenne pas ce qui ce passe.

Lorsqu’il le veut, il contrôle des objets par la pensée, ça n’a rien de plaisant puisqu’il s’en sert généralement pour blesser autrui. Il aime se servir de ses pouvoirs pour faire du mal. Il y prend vraiment trop de plaisir. Il teste même ses capacités comme ça, du coup, il fatigue.

Je ne sais pas si ça compte, mais il est très intimidant quand il le veut. C’est peut-être un talent ou un pouvoir ou juste du charisme, mais dans tous les cas, plusieurs refusent de s’y frotter.

Il est super solide. Rien ne le blesse, ne le tue, je serai surement coincé avec lui jusqu’à ce qu’il ne me tue et vole mon corps pour toujours. Le pire, c’est que quand on est blessé, j’ai vraiment mal, mais on ne meurt pas. Je n’ai jamais tenté de mourir non plus, juste comme ça. C’est pas trop mon truc mourir…  

Il influence les rêves de ses victimes, il aime les voir souffrir avant de leur prendre la vie. Il arrive aussi à les faire « voir » des choses, entendre aussi. Je l’ai déjà vu rendre quelqu’un tellement fou qu’il s’est tapé la tête contre un mur jusqu’à en mourir… il génère de la paranoïa chez ses victimes, je sais pas comment il fait, mais j’ai pas envie de le vivre…

Il contrôle aussi le feu, du coup, il met souvent le feu aux gens. Oh, il les éteint hein, pour recommencer un peu après… c’est un sadique. Heureusement, ça le fatigue ça aussi.

Et là, je ne peux pas jurer, mais… mais je pense qu’il arrive à... ok, vous allez me prendre pour un fou, mais… mais je pense qu’on a déjà changé de tête une fois. Du moins, de ce que je me souviens et c’est flou… Je l’ai entendu remercier, hm… “Maitre Belial” et ensuite, le noir complet. Je ne sais pas c’est qui, ni pourquoi on l’a remercié, mais je le remercie vraiment, parce qu’il a été tranquille pendant presqu’une semaine après ça… Il était complètement vidé et moi, j’aime reprendre un peu le contrôle pendant qu’il somnole.

Il est difficile d’expliquer notre histoire. J’ai du mal à nous suivre moi-même, mais je commencerai par moi, ce sera plus simple je pense. Parce que mon histoire, je la connais encore. Pour le moment du moins.
Je suis née d’une famille toute simple, rien de bien spécial. Une mère, un père et moi. C’est tout. J’ai vécu une enfance tranquille, j’étais un solitaire. Quand j’eus l’âge de choisir un peu plus mes vêtements, je devins un peu plus excentrique. J’avais une voix pas trop mal sous la douche et j’en profitais dès que je pouvais. En vrai, la musique prenait de plus en plus de place dans ma vie. Plus que je n’osais l’avouer. Parce que quand ont s’auto-proclame futur astronaute, c’est possible, mais chanteur… Y a rien d’assuré.
J’ai fini par faire de petits vidéos sur internet et tout prit rapidement son envol. Sans trop savoir comment, j’étais devenu Xander Jones, chanteur populaire sur le net. J’avais même réussi à me faire de l’argent avec youtube. Les paroles de mes chansons ne volaient pas super haut, mais j’étais fier de mes créations. J’étais vraiment doué pour faire des covers de chanson d'artiste que j'appréciais. Je ne sais pas quand on pouvait dire qu’on était devenu « professionnel » mais j’avais signé avec ma première maison de disque à l’âge de quinze ans. J’avais deux styles distincts. Le miens, un peu newwave et darkwave, mais j’avais aussi un groupe et on faisait dans le emo, un peu punk si on veut. J'ai dû me pratiquer à sceamer pour y arriver, je m'étonne encore de ne pas m'être cassé la voix comme ça. On s’habillait en noir, on faisait du bruit, on avait du plaisir. On parlait de l’Enfer, du paradis, de la mort, nos chansons étaient sombres, mais agréable. De mon côté, je préférais un truc plus mélodieux, sans l’être tout à fait. C’était fun. C’était ce qui comptait, tranquillement, la popularité arrivait, je vieillissais et ma voix changeait pour le mieux. Tout prenait une tournure se rapprochant de la perfection, j’avais des tatouages pleins le corps, le sexe, la drogue et le rock and roll faisait partie courante de ma vie. La vie était belle. Je ne rivalisais pas avec les grands de la musique, mais on avait notre petite base de fan bien à nous, mais rien n’est éternel comme on dit. Ma chance avait fini par tournée. Rien n’est aussi facile dans la vie. Quand Dieu donne d’une main, il reprend automatiquement de l’autre. J’en suis la preuve vivante.

C’était une nuit de show, on venait de finir et on était sorti prendre un verre ou douze, c’est flou, mais on avait du plaisir et dernière chose que je me souvienne, c’est que je me faisais agresser par un paquet de fumée noire. Ce qui était franchement bizarre comme impression, mais j'avais mit tout cela sur le dos de l'alcool et de la drogue. Elle était entrée dans ma bouche et maintenant, j’étais fucker, complètement fucker.

Les voix étaient déjà présente, mais pas assez pour que je m'en formalise, maintenant, tout devenait pire. J’imaginais des choses. J’avais l’impression d’être dans un film d’horreur. On me suivait dans la rue, il y avait toujours une silhouette dans le coin de mon œil, toujours cette ombre. Il était toujours là. Un jour, je suis tombé dans les escaliers, je ne savais pas s’il m’avait poussé, mais j’étais trébuché sur mon propre cadavre ensanglanté, j’étais complètement paniqué. J’étais mort, je le savais, je savais aussi que je ne faisais aucun sens. Le médecin me le disait, l’infirmière aussi, les voix disaient la même et lui, lui il riait d’un rire froid et mauvais. Je suis resté en observation une semaine, voir plus. Mon médecin m’avait fait voir un psy. Parce que je pensais sincèrement qu’il allait trouver mon vrai cadavre chez moi, que mes murs étaient couverts de mon sang, mais rien. Je ne savais pas qu’on m’observait, mais je parlais avec lui. Si je lui parlais, il me répondait. Il comptait tuer l’infirmière, il me le disait, j'avais prévenu l'infirmière. Je lui avais dit de se tenir loin. Très loin de moi. Je ne sais pas si c’était à cause de ça, mais… on m’avait présenté un psychiatre. Il analysa mon dossier, on avait discuté et un diagnostic tomba. J’étais schizophrène. C’était aussi simple que cela. Ses médicaments étaient censés faire taire les voix.

J’ai réellement cru que ça avait fonctionné. Parce que j’avais eu droit au silence et finalement on m’avait signé ma sortie. Mon manager avait fait circuler l’info que j’avais fait une over dose et que j’étais en train de me faire traiter. Parce que tout le monde sait qu’un problème de drogue, c’était mieux que d’être fou… Sauf qu’au bout de quelques jours, malgré mes médicaments… il était revenu en force. C’est là qu’il commença réellement à prendre goût à ses petits jeux. On avait commencé tout petit. Je me battais quand je ne le voulais pas. Il pouvait me faire dire n’importe quoi. J’étais horrifié. S’il disait bleu, on disait bleu. S’il disait que je me coupais un doigt, je savais qu’on allait le faire. Il me faisait mal pour me garder en rang. Sauf qu’il préférait ne pas laisser de cicatrices, il trouvait ça laid…


Je ne peux pas dire pourquoi il avait autant de plaisir à me faire souffrir, mais il prenait son pied. Il adorait son nouveau jeu et ça se sent un peu plus chaque jour. Il me laisse du leste, me laisse prendre ma place. Il me répète sans cesse qu’il pourrait écraser mon âme et prendre total possession de mon corps, mais qu’il me faisait une faveur de me laisser vivre un peu, quand bon lui semblait. Vous ne comprenez pas la souffrance, l’horreur du moment. J’aurais préféré mourir mille fois que de vivre et de voir les atrocités qu’il était capable d’accomplir. Tout avait réellement commencé quand, après un blackout, je m’étais réveillé dans ma chambre d’hôtel couvert de sang. Je ne savais pas comment j’étais sorti, ni comment j’étais rentré. L’hôtel m’avait même promis que ma carte d’accès n’avait pas été activé du tout. J’avais un alibi de béton, mais j’avais dû cramer mes vêtements et me doucher treize fois pour enlever l’odeur de métal que j’avais de coincé dans chaque port de ma peau. Je ne savais pas qui, ni comment et quand je me questionnais, il rigolait. Je savais qu’il était coupable, mais je ne savais pas comment. Puis, ça avait recommencé. Je m’étais réveillé à moitié à poil, couvert de sang et un couteau de chasse à la main. WTF. J’avais recommencé le même manège, toujours pas sorti de l’hôtel. Il avait recommencé au moins 7 fois comme ça, je devenais complètement fou à ne pas savoir, ne pas comprendre. La dixième fois… fuck, c’est gravé dans ma mémoire, je ne pourrai jamais l’oublier. Il y avait une putain de jambe dans mon lit. Une jambe féminine, un tatouage de mort sur la cuisse. Sauf qu’il n’y avait pas de corps relier à la jambe ensanglantée. Il avait rigolé, trop pour mon propre bien. Son rire me rendait complètement fou. Tellement que j’étais retourné chez le psychiatre et que finalement, il me changea de diagnostic. Non, je ne lui avais pas parlé des meurtres, je ne suis pas con et l’autre ne m’aurait pas laissé. Juste que… je lui avais parlé des blackouts et j’en ai même fait un devant lui. Il était aussi terrorisé que moi après ça… mais il m’avait prescrit d’autres drogues pour le contrôler, mais rien à y faire. L'autre refusait de partir.

J’en avais marre de ne pas savoir, de ne pas comprendre. Je lui gueulais d’arrêter et il me prit au pied de la lettre. Je regrette encore. Parce que cette nuit-là, j’avais eu le droit de voir ce qu’on faisait. Nous nous étions volatilisés de la chambre d’hôtel pour apparaître dans une ruelle, je ne contrôlais rien. Je ne pouvais même pas bouger le petit doigt, j’étais paralysé. Paralysé, mais en mouvement. Je nous avais vu rentrer dans un bar, trouver une fan mignonne. Elle en bavait presque sur notre t-shirt tellement elle nous aimait. Elle avait des étoiles pleins les yeux et elle ne mit pas très longtemps avant de commencer à nous toucher, nous embrasser. J’aurais voulu la repousser, mais non. Il refusait, il grondait. Je sentais son plaisir et son désir augmenter à chaque instant. Elle nous avait ramené chez elle et on avait couché ensemble, il y prenait plaisir, moi j’avais plus peur d’attraper une cochonnerie… c’était mon corps, mais je ne pouvais rien faire. Je me sentais limite violer et lui, il riait. Elle commençait à somnoler quand il la frappa une première fois, il riait, moi, je lui gueulais d’arrêter. Il était trop fort pour moi, pour elle aussi. Elle avait valsé à l’autre bout de la pièce. Juste d’y repenser, j’en ai encore des hauts le cœur, je n’y arrive pas. Je ne peux pas en parler. C’est… trop. Juste que, pour faire bref, je l’ai regardé la taillader jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Jusqu’à ce qu’elle ne bouge plus. Elle c’était lentement vidé de son sang, mais comme pour rajouter à l’horreur, à mon cauchemar, nous avions ouvert son torse à mains nues, nous avions farfouillés un peu pour le plaisir avant de trouver ce qu’il cherchait. Notre main droite c’était refermée autour du cœur de la demoiselle avant de s’en saisir et de l’arracher d’un coup sec. J’observais ce cœur dans ma main, c’était complètement irréel. Comme si c’était impossible, mais c’était réellement possible et pour me le prouver. Pour me prouver qu’il nous dominait. Il avait décidé de manger le cœur, juste parce qu’il le pouvait. Nous avons mangé un cœur, j’ai mangé un cœur… l’odeur, le goût, je m’en rappel et je m’en rappel avec ses sens à lui. Je crois avoir vomit pendant une semaine après ça et encore aujourd’hui, quand j’y repense trop, j’ai des nausées…

Depuis, c’est la même chose. Il vari les tortures et j’y assiste. Parfois, il me cède le contrôle pour que je le fasse moi-même. Je pense qu’il espère que je devienne lui à part entière. Que je le fasse moi-même, mais je refuse. Une fois, il insistait, j’avais le scalpel en main et il voulait que je découpe un tatouage sur une fan. J’ai refusé, il insistait tellement que je me suis planté le scalpel dans la main. Je préfère mourir que de devenir comme lui, il le sait. Alors, il me force à regarder, mais ne me laisse plus le contrôle. Je lui ai promit que j’allais me tuer. Il n’a pas aimé l’idée. Il ne me laisserait pas faire de toute façon.

J’essaie de garder bonne figure dans ma vie. Je crois qu’on appel cela du déni, mais sincèrement, je n’en peux juste plus par moment. Je ne comprends même pas comment je fais pour continuer mon semblant de vie. Comme si l’horreur devenait presque… normal. Je me fais de plus en plus peur avec tout ça. Il est infernal… je ne sais pas on va survivre combien de temps comme ça lui et moi… Surtout moi en fait.

Maintenant, parlons un peu d’Abalam. Xander n’en sait rien, pourquoi est-ce qu’un démon prendrait la peine d’expliquer à son nouveau jouet qu’il allait faire la dînette. Non, un humain ne mérite pas d’explication. Abalam est un démon, oui, mais pas n’importe lequel. Il a longtemps été associé à la folie. Même en Enfer, son job était de rendre fou les âmes à tourmenter. Il a un talent inné dans ce domaine et il adore cela. Il n’est pas fou, mais il connait la folie. Il sait quelle corde tirer pour détraquer n’importe quel être sans exception et il s’en régal. Si au moins il c’était arrêté à cela, mais non. Il a poussé le vice encore plus loin en devenant un disciple de Belial. Tellement qu’il accepta un rituel pour devenir une extension de Belial, s’il y avait bien un démon capable d’assumer une telle charge, c’était bien le démon de la folie. Sauf que le rituel de sang ne fonctionna pas exactement comme prévu. Maintenant, Abalam arrive à emprunter les pouvoirs de Belial pour un moment et ce démon est, ma foi, des plus puissants, sauf que ça génère en lui une intense fatigue. Il a donc besoin de se reposer après une trop grande utilisation de ses capacités et il a-dore s’en servir. Il aime sentir la puissance de Belial couler dans ses veines. Il prend son pied à chaque fois. Alors, quand il est au repos. Il laisse gentiment son humain vivre sa vie. Il aurait dû prendre le corps et tuer l'âme comme tout bon démon, mais vu les périodes de "faiblesse" dû au pouvoir de Belial, il n'ose pas se permettre de le faire parce que quand il dort, il est vulnérable. Il le sait, mais si son humain agit en humain... il est protégé en quelque sorte.

n prime, il adore jouer avec son nouveau jouet. Il l’observe, cherchant un moyen de le pervertir. Il trouvera bien à un moment ou à un autre. C’était son jeu favori. Même s’il est faible, il arrive à empêcher son véhicule de dire ou faire des choses qu’ils pourraient regretter, c’est ça la force d’un démon. Il n’aime pas réellement posséder complètement, il prend vraiment son pied dans cet entre-deux flou. Tellement que, lorsque Xander va mourir, parce qu’il finira bien par mourir. Abalam compte bien laisser le corps mort et aller voir ailleurs pour rendre fou quelqu’un d’autre. Parce qu’il est comme ça. Il aime ça et il se protège de cette façon.