Oliver H. Farrell aka Héphaïstos

Bonjour! Mon nom sur mon certificat de naissance est Héphaïstos et on me surnomme F ou H. Je suis né(e) il y a trop longtemps sur le mont Olympe en Grèce. Je suis un Dieu et j'appartiens au Dieux païens. Je travail comme/en chef d’entreprises.

Ambitieux Arrogant Articulé Autoritaire Calme Capricieux Compétitif Créatif Curieux Efficace Égocentrique Imaginatif Impatient Intuitif Mégalomane Méticuleux Nonchalant Perfectionniste Prétentieux Obstiné Rancunier

Vous pouvez écrire le physique ou ne pas l'écrire. C'est libre à vous ( la fiche sera changé sous peu et cette section disparaitra )

Comme tout Dieux Païens, j’ai des pouvoirs. Je ne m’en sers plus vraiment, mais ils existent si le besoin s’en fait sentir. Déjà, je suis immortel, presque. Je ne tombe pas malade, je ne vieillis pas. Si je trébuche et me casse le cou, je ne mourrai pas, je ressens beaucoup plus la douleur maintenant que dans mes jeunes jours, il faut bien l’avouer. Une personne mal intentionnée pourrait me faire du mal, mais généralement, je les évite. Je suis fort, très fort. Le poids des métaux m’a bien entrainé. Mes sens sont plus aiguisés qu’un humain ordinaire, c’est la naissance divine qui fait ça. J’arrive à utiliser la magie pour l’infuser principalement dans mes créations. J’arrive tout de même à faire des rituels et à utiliser des sorts. Je connais beaucoup de chose en la matière dû à mon âge. J’arrive à comprendre tous les langages, comme plusieurs Dieux comme moi. Je possède les trois grands T. Télépathie, télékinésie et téléportation. Je ne suis même pas certain que j’arrive encore à me téléporter, je manque de pratique et ça fait un moment que je ne m’en suis pas servi. Je préfère l’hélicoptère ou un jet. J’arrive à créer n’importe quoi à partir de rien, À une époque, j’ai créé Pandore à l’aide d’argile et d’eau. C’était la belle époque. C’est sans vous parler de mes servantes d’or que je possédais jadis, faites exclusivement d’or et de magie, elles étaient de toute beauté. Maintenant, je dois me résoudre à engager de jeune beauté blonde tout ce qui existe de plus normal, presque banales.
Pyrokinésie. Je contrôle le feu, mais surtout, j’y suis immuniser. À force de travailler dans la forge la plus chaude de l’Olympe, on s’habitue à tout. Même le feu de l’Enfer pourrait me servir de forge un jour, qui sait.
Mon habilité unique, celle qui m’est propre est très simple. J’adore créer des armes puissantes et magiques, la forge d’arme, c’est mon talent le plus redoutable. Je ne le pratique plus, parce que de nos jours, qui requiert encore une lame parfaite ou une lance bien balancée ? Personne. Mon marteau ne me sert plus, même si à l’époque, trois coups et j’arrivais à créer une merveille. J’arrive à créer des munitions et des armes à feu, mais c’est différent, ce n’est plus comme avant. Ce n’est plus aussi passionnel entre moi et mes créations, faut bien l’avouer.

J’étais puissant et reconnu à mon époque. Les prières, les demandes et l’espoir de la Grèce à mon égard était suffisant pour me permettre d’accomplir n’importe quoi. J’étais invincible, j’étais imaginatif, créatif, j’étais parfait. Maintenant que je suis relégué au rang d’antiquité, on ne croit plus en moi et mes pouvoirs s’en font sentir. Alors, au lieu de n’arriver à rien, j’ai pris la décision de les utiliser le moins possible. Je préfère ne rien faire que de risquer d’échouer.

Je pourrais vous raconter mon histoire sans problème. Je pourrais aussi vous référer à ma page wiki. J’ai vérifié et généralement, c’est assez véridique. Pas tout, mais assez pour que je ne m’en formalise pas. Quoi ? Sérieusement ? Je dois expliquer moi-même. Arf.

Ok, ok, je vais le faire. Il était une fois, une Femme froide et chiante nommée Héra qui décida de m’accoucher. On dit que sur le coup, elle me trouva tellement laid qu’elle me lança en bas du mont Olympe. Je ne peux pas dire si c’est vrai, mais j’ai toujours eu un problème de genoux. Mon droit, pour être plus exacte. Du coup, je l’accuse pour la forme. J’ai longtemps boité, mais désormais, la médecine moderne à fait son œuvre et je n’ai plus ce problème.

Bref, revenons à l’enfance. Mon nom, donné par une humaine m’ayant recueilli et élevé dans une grotte, me nomma Héphaïstos, ce qui veut dire : Qui brûle, qui est allumé. On peut aussi dire briller, attacher ou enflammer. Bref, elle pensait que je deviendrais pyromane et elle n’avait pas tout à fait tort. Je suis « techniquement » le fils de Zeus. Je dis techniquement, parce qu’il m’a toujours dit que ma mère m’avait fait tout seul. Il n’a jamais réellement voulu de moi. Ça tombe bien, l’inverse est aussi vrai. Le panthéon ne m’a jamais fait envie. J’ai toujours préféré les humains. De ma mère adoptive jusqu’aux autres. J’aime bien l’idée d’être un feu divin, ce qui veut dire « Fils de lui-même » ça a quelque chose de sale, mais de puissant. J’apprécie l’effort.

Lorsque j’étais tout petit, la première chose que j’ai construite de mes mains fut un trône d’or. J’avais des années de pratique en orfèvrerie, mais ce n’était pas pareille que de la fabrication de fourniture de bureau, qu’on se le dise.  Je l’avais offert à ma mère, ma vrai, comme cadeau de remerciement pour ma naissance. Le seul hic, c’est que les bras du fauteuil était articulé et que le trône servait en fait de briser dorée. Je riais bien de tout ça, jusqu’à ce qu’on me force à monter dans l’Olympe pour réparer mes bêtises. Oups. Le pire c’est qu’Arès lui-même n’avait pas réussi à me faire changer d’idée et la libérer. J’ai été piégé par Dionysos et l’alcool. J’ai toujours eu un penchant pour l’alcool depuis ce jour.

Une fois coincé au sommet de l’Olympe, une fois ma mère libérée, on m’offrit une récompense de mon choix. Pour faire chier, j’ai demandé la main d’Aphrodite et on me l’accorda. J’avoue avoir été un peu surprit sur le coup. Ma réputation commençait à peine à prendre son envol que j’épousais une déesse magnifique. J’étais peut-être moche à la naissance, mais j’ai été choyé dans la vingtaine. Certain disait que j’étais encore moche, mais… mais c’est moi qui me faisais Aphrodite, alors hein, qui peut en dire autant ! Je vous souffle la réponse, beaucoup. Ouais, beaucoup de Dieux pouvaient se faire Aphrodite parce que c’était une vraie Sal…. Saleté de déesse de la beauté. On va rester poli. Pas longtemps après, j’ai eu une querelle avec Zeus et il me lança de nouveau en bas de l’Olympe. Sincèrement, je déteste cette stupide montagne…

Après deux chutes de la sorte, ça n’étonnera personne qu’on raconte que j’avais les pieds croches, que je boitais et tout, mais, MAIS, je n’ai jamais eu les pieds vers l’arrière, je vous le jure, c’est complètement exagérer comme récit.

L’humanité a longtemps prit soin de moi et je lui rendais bien. Je forgeais pour ceux qui en avait besoin. J’ai forgé pour la guerre, mais aussi pour le peuple. J’ai forgé des armes et des pièces d’équipements pour des Dieux, mais surtout, pour créer des légendes extraordinaires. Pour me faire de l’argent, je passais la nuit de foyer en foyer pour reforger les items de leur choix en échange d’une pièce d’or ou deux. J’étais sincèrement gentil, plus que la plupart de ma fratrie… Je vous vois déjà poser la question, oui, j’étais toujours marié et oui, je continuais de voir ma femme, mais sincèrement, elle avait beau être la beauté incarnée, elle me dégoutait un peu plus chaque fois que je savais qu’elle était allée voir ailleurs.  

Quand elle a fini par me tromper avec Arès, ce fut la goute de trop. Non mais y a des limites. J’arrivais à la couvrir de bijou et elle, elle se tapait un crétin sans cervelle qui ne pensait qu’à taper le plus fort… Je devins la risée des Dieux et j’ai décidé de me détourner d’eux, complètement. J’ai bien tenté de me venger, j’ai tenté de me taper Athéna, mais… ça a mal fini. En fait, la rumeur dit que je lui suis venu sur la cuisse et qu’on a créé les Athéniens comme ça, mais… même si je suis super fort pour créer, je ne crois pas que ce soit vrai. En vrai, je n’en ai aucune idée puisque Dionysos était impliqué…

Avec tout cela, j’ai bien eu quelques enfants, mais rien d’exceptionnel, il y avait même des laids et des infirmes, alors j’ai abandonné. J’ai abandonné l’Olympe, ma femme et l’idée d’avoir une famille. J’ai préféré me concentrer sur ma forge. Je continuais sur cette voie. Je n’avais plus rien à voir avec les Dieux, ma demi-sœur, Athéna, eut besoin de moi à quelque reprise, mais sans plus. La seule fois ou mon père réclama ma présence, ce fut pour créer Pandore de toute pièce. Je n’avais jamais modelé la vie auparavant, mais ce fut le cas maintenant. Elle était magnifique. Elle était parfaite. Du moins, jusqu’à ce qu’elle ouvre sa boite… Bref, les servantes d’or, c’était mieux quand même. Moins de problème. Elles avaient été mes seuls repères longtemps.

Puis, lentement vint la montée du Christianisme, nous étions maintenant les anciens Dieux. Je ne savais pas trop quoi faire de ma peau. Alors j’étais partie vers l’Angleterre pour me réinventer. Je restais forgeron, faisant rapidement fortune en fonte de métal. Je connaissais les métaux sur le bout des doigts, ils répondaient à ma présence. C’était la belle époque, je n’avais qu’à changer de villes, de léguer toute ma fortune et mes possessions à mon futur moi et le tour était jouer. J’étais encore laid, mais au moins, j’étais riche. Des humaines tentèrent de me séduire, mais j’avais encore Aphrodite au travers de la gorge.

J’avais continué sur ce même manège longtemps. Je restais riche, mais je réinvestissais beaucoup. Jusqu’à ce que je ne puisse plus rien faire à cause de photographie et ce ce genre de conneries. J’avais de plus en plus de mal à ne pas devoir changer de tête. J’étais salement embêté jusqu’à ce que, un beau jour de Noël, j’avais offert à mes employés un bonus généreux. Cette soirée-là, je fus sur les lèvres de tout le monde, au point où je sentis de nouveau mes pouvoirs couler dans mes veines. Ce soir-là, je m’étais façonné un nouveau visage, un nouveau corps d’Argile et d’eau, comme pour Pandore. Ça m’avait tout prit, mais j’avais réussi. Je pouvais désormais continuer mon train train avec une nouvelle identité. Vous devinerez bien que depuis, je ne suis pas moche. Je suis même plutôt beau gosse.

Pour en revenir à de nos jours. Je possédais maintenant une nouvelle identité : Oliver H. Farrell. Oui, H pour Héphaïstos, mais si on demandait, c’était pour Henry. Je m’étais établi à New York, j’avais un penthouse au-dessus du monde, tout était paisible. J’avais fait fortune en métallurgie, je fournissais les métaux pour les plus grandes architectures et les plus belles voitures. Sauf que mon monde chavira quand, suite à une réunion au Kansas, ville de dégénérés, je ne pouvais plus en sortir… J’étais coincé là, sans rien. Je m’étais pris un hôtel, mais ce n’était pas mon fort. Je devais maintenant me rebâtir à neuf et me trouver quelque chose à faire pendant ce temps… En un mot : Fuck. En trois : Fuck ma vie…